[Rin Kagamine] feat [Vocaloid] |
Carte d'identité
Nom & Prénom : Rolzen Malaurie Surnom : À part la folle, elle n'en a pas. Mais si vous tenez à la vie, évitez de l'appeler comme ça... Âge: 16 ans environ Orientation sexuelle : Quelle importance ? Elle ne sait pas aimer Origines : Bretonne Race : Ombre Groupe : Yin Statut civil : Célibataire Emploi : Tueuse en série. Étudiante. Rang (niveau attribué par le Staff) : Rang souhaité(Profil) : Blood eyes |
Il était une fois...
Si vous demandez aux personnes qui la connaissaient, ils vous diront sûrement qu'ils se rappellent d'une petite gamine pourrie gâtée, trop entourée, capricieuse, mal éduquée et malpolie. Sauf que ces gens ne la connaissaient pas. La vérité a été quelque peu... détournée. Lisez, vous comprendrez
Malaurie est une petite blondinette qui habite dans une immense maison au bord de la mer. Elle n'a jamais manqué de rien, elle peut avoir tout ce qu'elle veut à la seconde où elle le demande. Elle est très intelligente et a intégré une grande école. Elle avait tout, sauf de l'amour. Ses parents ? Trop occupés par leur société pour se soucier d'une gamine. Mais quand un petit frère fut né, ils arrêtèrent toute activité et confièrent leur entreprise à des personnes de confiance. Ils passaient le plus clair de leur temps avec le petit bonhomme. Ils étaient une famille unie. Enfin à eux trois. Elle, rêvait de partir d'ici un jour, de pouvoir s'allonger dans un parterre de pâquerettes, respirer sereinement l'air chaud du printemps, sentir le soleil brûler sa peau... Elle se fit cette promesse qu'elle avait bien l'intention de tenir.
Malaurie ne se sentait même pas délaissée, elle se sentait carrément oubliée. Ces gens chez qui elle habitait ne représentait rien pour elle, elle ne les aimait pas. De toute façon, elle ne savait pas aimer personne ne le lui avait appris. Très regrettable pour eux. Ils l'avaient laissée toute seule pendant une semaine, elle, une gamine de sept ans. Et quand ils étaient rentrés, le couteau de cuisine à la main, elle les avaient tués. Tout les trois. Elle avait pris les économies de ses parents ce qui faisait un beau magot et elle s'était enfuie, son couteau à la main.
Depuis elle ne le quitta plus jamais. Elle s'en acheta d'autres mais celui là était son instrument de mort préféré. Et à chaque fois que quelqu'un l'approchait d'un peu trop près, il y passait. Heureusement pour elle, elle ne laissait jamais de traces donc elle ne s'est jamais fait prendre. Elle avait établi son repère dans une forêt peu fréquentée de Sicile. Les rares personnes qui y pénétraient goûtaient à sa lame.
Elle vécut plusieurs années comme ça tranquillement se faisant une réputation dans toute l'île dont certains échos parvinrent en Italie. Tout ce qu'elle voulait c'est qu'on lui fiche la paix, elle n'avait pas le cœur à vivre. Pourquoi elle ne s'était pas tuée ? Elle estimait que les humains avaient besoin d'une bonne leçon de vie. Elle était tombée dans l'oubli pendant son enfance, maintenant elle possédait une réputation de fer. Elle avait envie de montrer à ses parents quel monstre ils avaient engendré. Elle voulait leur prouver qu'elle n'avait pas besoin d'argent pour surgir. L'argent, ce n'est que des bouts de papiers et de métal. Elle a baigné dedans pendant des années, elle voulait simplement sortir de ce "bonheur" artificiel dont ses parents s'étaient contentés. Si seulement ils avaient appris à s'occuper d'elle, peut être qu'ils seraient sûrement en vie aujourd'hui.
Mais elle s'en fichait éperdument maintenant. Cela faisait deux parasites de moins sur cette pauvre terre malade. Débarrasser la terre des êtres gênants lui plaisait. Elle se disait que, à la clé, il y avait cette promesse. Alors elle continuait à tuer. Tuer, tuer, tuer. Elle n'avait que ça à la tête peu importe ce que ça lui en coûtera, elle voulait juste goûter au bonheur rien qu'une fois. Mais quand on tue, quand on est devenu aussi bornée qu'elle sur un seul objectif, on en devient fou. Parfois, elle en oubliait presque la raison de ses actes. Peu l'important après tout. Si elle arrêtait de tuer que ferait-elle à part se donner la mort ? Rien.
Et c'est alors qu'elle entendit parler de ce jeu, de ces disparitions mystérieuses. Pour une fois que ce n'était pas elle qui faisait disparaître les gens. Elle s'acheta alors un ordinateur et retrouva un lien avec le monde. La page web du fameux jeu en question s'afficha devant elle. Plus rien ne la retenait ici depuis longtemps, elle pouvait partir. Et puis c'était un jeu alors elle pourrait sûrement continuer à tuer. Et elle appuya sur "Start".
Bienvenue dans le jeu, Malaurie Rolzen.
Quand elle s'est réveillée, elle n'était plus dans sa cabane de la Sicile devant son ordi. Elle était... ailleurs. Elle marcha pendant de longues minutes et finit par apercevoir au loin une ombre. Elle avait l'air de la regarder. Mais elle n'avait pas peur. Elle tâta sa cachette, elle était armée. Elle s'approcha. L'homme lui dit bonjour, il lui parla d'ombres, de nightmares. Il lui dit aussi qu'elle n'avait rien à faire là, qu'il valait mieux qu'elle soit morte. Mais elle ne broncha pas. Elle lui dit que s'il voulait qu'elle soit son ombre, il suffisait de demander. Son cœur était déjà assez noir comme ça que ce n'était même pas la peine d'en rajouter. Et bien sûr, elle devint son ombre
Tes pensées les plus secrètes...
Malaurie est complexe et simple à la fois. Si elle avait baigné dans l'amour dès sa plus tendre enfance, elle aurait vécu comme la personne la plus normale au monde. Mais comme ça n'a pas été le cas, ce n'est pas la peine d'en parler en long et en large. Le destin a fait que le manque d'amour autour d'elle l'a transformé en quelqu'un d'insensible. Elle est totalement incapable d'éprouver quelque sentiment profond que ce soit. Son visage est la glace même et son cœur est un gouffre sans fond: l'émotion ne la traverse jamais, elle la trouve inutile. Son seul objectif c'est de tuer et parfois, elle en prend un malin plaisir.
Elle n'a pas peur de la mort. Si un jour elle vient la chercher, elle se dira "tant pis, au moins j'aurais essayer. Adieu monde cruel et bonjour repos éternel". Mais elle n'en était pas là, elle comptait rester encore un bon moment même si sa vie n'avait plus de sens. En même temps, lorsqu'elle mourra, elle ne s'attendra pas à aller au paradis. Étrangement, il n'y a pas que la mort que ne lui fait pas peur. En fait, elle n'a peur de rien. Même devant la plus terrifiante créature, elle serait capable de rester de marbre. Elle a tout simplement une sainte horreur des sentiments. Elle a peur de devenir quelqu'un de gentil, d'attentionné, elle a peur d'être capable d'aimer. Elle a commencé sur une voie, si elle en changeait cela pourrait avoir d'énormes conséquences après tout ce qu'elle a fait. Elle en deviendrait sûrement folle et passerait ses journées à se dire "pourquoi j'ai fait tout ça ?". Donc elle choisit de garder son calme et de continuer à tuer.
Elle se contrefiche totalement de manipuler les gens ou de mentir même si c'est dans son intérêt, ça ne l'intéresse pas. Elle dit que ce n'est pas le but du jeu, que ce ne serait plus drôle. Oui, même en gardant son calme, elle est totalement folle et prend ses meurtres pour un jeu. Et encore, heureusement que c'est l'auteur qui parle et pas elle.
Le sourire a déserté son visage depuis... Ah non désolé pour l'erreur: elle n'a jamais souri, elle n'en voit pas l'utilité. Mais vous pouvez toujours essayez, je n'ai pas dit qu'elle ne savait pas sourire. Par contre, si vous vous y risquez, attention aux chutes de couteaux...
Mon beau miroir...
Regardez-moi cette photo cacheté en haut à gauche, ne dirait-on pas un rayon de soleil ou un ange ? Avec un sourire, elle paraîtrait tellement heureuse et innocente. Mais ce n'est qu'une apparence. Elle n'a jamais eu de bonheur et d'innocence enfantine ou alors elle les a perdus le jour de son premier meurtre. Puis ceux qui ont osé la trouver mignonne ne sont plus de ce monde depuis longtemps. Ou ne sont pas encore nés.
Ses cheveux sont aussi blonds que le blé ou qu'un soleil d'été et s’arrêtent au niveau des épaules. Elle les rassemblent en arrière avec un bandeau blanc, laissant quelques mèches dépasser sur son visage. Ses grands yeux sont aussi bleus que l'océan et, à la lumière, ils paraissent turquoise. On pourrait dire qu'elle a des yeux comme tout le monde mais les siens ne reflètent rien, comme tout son être. Vide, inexpressif, insensible. Elle a un petit nez et des lèvres roses, tout ce qu'il y a de plus normal.
Elle est assez grande ( environ 1m75) et possède les formes d'une jeune femme de son âge sans pour autant qu'il y ait des exagérations. Elle a une peau assez pâle. Au fond, elle est plutôt jolie. Elle ne cherche pas à se servir de cette apparence trompeuse et aurait préféré être plus effrayante que cela.
Pouvoir
Le vol de vitalité:
Quand Malaurie a un contact physique avec une personne, elle lui vole sa vitalité et l'épuise. Et en échange, elle la récupère et se régénère avec. En trente secondes, son adversaire se sent faible et ressent de la fatigue. Elle ne peut pas tuer avec son pouvoir et, quand elle s'en sert, elle perd au fur et à mesure de l'espérance de vie. Mais ce n'est pas tout, dans un combat, 30 secondes c'est long et elle n'est régénérée seulement au bout des trente secondes. Elle s'en sert rarement, elle tient à sa vie mais quand ses couteaux ne sont plus suffisants elle est obligée de s'en servir.
Vous ?
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